Villa des Tourelles, Nanterre,
exposition collective Les autres œuvres, 2010
L’exposition était liée au sujet de thèse de l’artiste Miguel-Àngel Molina « Les autres œuvres, La peinture et ses images » que l’on pourrait simplement résumer ainsi: l’analyse du statut de la photographie d’œuvres dans le travail d’artistes contemporains. La photographie ici abordée comme reproduction mais aussi comme faisant partie du processus créatif. Un texte expliquant notre rapport personnel à la photographie est publié dans le catalogue. J’ai réalisé à cette occasion un collage mural in-situ sur l’un des murs de l’espace de la villa et présenté une sélection des mes carnets de photographies dans une vitrine.
A l’époque je réfléchissais souvent à l’exploitation de la culpabilité parentale par la grande majorité des publicités pour les produits destinés aux enfants. J’interprétais cette tendance comme une stratégie pour exploiter commercialement l’angoisse produite par le fait d’être parent : celui qui doit décider tout le temps pour quelqu’un qui dépend complètement de soi. Un des aspects récurrents de la parentalité.
Le collage avait quelque chose de grave et de léger en même temps. Il associait l’image d’un arbre imposant, couché, abattu par une tempête sur le toit d’une maison, mais qui semblait se reposer sur la toiture de la maison. Un texte laconique était peint avec un léger tremblement d’une couleur « sale » obtenue par le mélange des autres couleurs utilisées.
exposition collective Les autres œuvres, 2010
L’exposition était liée au sujet de thèse de l’artiste Miguel-Àngel Molina « Les autres œuvres, La peinture et ses images » que l’on pourrait simplement résumer ainsi: l’analyse du statut de la photographie d’œuvres dans le travail d’artistes contemporains. La photographie ici abordée comme reproduction mais aussi comme faisant partie du processus créatif. Un texte expliquant notre rapport personnel à la photographie est publié dans le catalogue. J’ai réalisé à cette occasion un collage mural in-situ sur l’un des murs de l’espace de la villa et présenté une sélection des mes carnets de photographies dans une vitrine.
A l’époque je réfléchissais souvent à l’exploitation de la culpabilité parentale par la grande majorité des publicités pour les produits destinés aux enfants. J’interprétais cette tendance comme une stratégie pour exploiter commercialement l’angoisse produite par le fait d’être parent : celui qui doit décider tout le temps pour quelqu’un qui dépend complètement de soi. Un des aspects récurrents de la parentalité.
Le collage avait quelque chose de grave et de léger en même temps. Il associait l’image d’un arbre imposant, couché, abattu par une tempête sur le toit d’une maison, mais qui semblait se reposer sur la toiture de la maison. Un texte laconique était peint avec un léger tremblement d’une couleur « sale » obtenue par le mélange des autres couleurs utilisées.
murales X
murales IX
murales VIII
murales VI
murales V
murales IV
murales II